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Je suis Indy, née à Nîmes en 1989 et cannoise depuis 2018.

Un crayon m’est tombé dans les mains lorsque j’avais 10 ans et a irrémédiablement influencé mon parcours : BAC arts appliqués, BTS design de mode.. suivis d’un besoin inéluctable de prendre du recul, de vivre et de (se) découvrir. Un Bachelor en « médiation culturelle et marché de l’art » me semblait être la meilleure solution pour découvrir les autres facettes du milieu artistique.

Je n’ai alors plus touché un crayon durant trois ans, mais j’ai découvert le monde de la photographie avec ses acteurs, ses stars et ses techniques. Ces expériences ont inconsciemment changé ma manière d’aborder le dessin que ce soit en termes de contraste ou de composition.

Fin 2014, j’ai intégré un shop parisien comme apprentie et suis devenue tatoueuse. En 2016, j’ai ensuite rejoint le collectif Yoso (Paris, 19ème), au cœur d’un lieu zen dédié à l’art du tatouage et disposant également d’un espace galerie et librairie.

Fin 2018, j’ai quitté Paris pour Cannes où je disposais de mon salon privé au cœur de la boutique Papatoro Skateshop.

En septembre 2019, j’ai ouvert mon tout premier salon de tatouage cannois, Indylab, un lieu cosy à la décoration vintage, mais aussi un espace collaboratif inspiré par mes belles années passées au Yoso.

Si, en illustration, le papier et les techniques sèches (crayons, stylos à bille, feutres) sont mes meilleures armes, en tatouage, j’aime les contrastes clairs/obscurs, les jeux dans l’épaisseur des lignes et l’utilisation d’ombrages en dots (pointillisme) qui me rappellent le grain de la photographie argentique ou la patine des vieilles techniques d’impression.

Mes inspirations sont diverses: la photographie, le surréalisme, les années 20 à 70 (nostalgie d’une époque que je n’ai pas connu),  le tatouage, la ville et ses vieilles enseignes, le street art, les animaux, la culture japonaise (le voyage qui m’a plus marqué), les objets vintage chargés d’histoires, les expressions du langage, les gens, les idiosyncrasies, les nouvelles technologies…

Depuis peu je m’intéresse également à l’art digital. Le nouveau monde des NFTs offre une visibilité et une légitimité à des artistes qui étaient tapis dans l’ombre. La créativité inspirante de cette communauté et les possibilités sans limites de l’outil numérique sont ce dont j’avais besoin pour me lancer dans l’expression de thèmes plus personnels et peut-être plus sombres que je vous ferai découvrir courant 2022 avec des œuvres digitales que vous pourrez acquérir sur la blockchain.

INDYLAB